Titre : |
Les bûchers de la liberté |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anastasia Colosimo (1990-....), Auteur |
Editeur : |
Paris : Stock |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
1 vol. (227 p.) |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-234-08050-8 |
Prix : |
18,50 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
323.443 |
Résumé : |
Que nous dit Charlie, alors que se dissipent les ultimes mirages du 11 janvier ? Que le blasphème n'est pas de retour car il ne nous a jamais quittés. Qu'il n'est pas un principe religieux, mais qu'il a toujours été un instrument politique. De Rushdie à Dieudonné, d'Islamabad à Copenhague et de la Cour européenne des droits de l'homme à la Cour suprême des États-Unis, en passant par la Bible et le Coran, les caricatures de Mahomet et l'inflation des lois mémorielles, voici une plongée à travers les temps et les lieux du blasphème qui en dévoile sans concession toute l'actualité. Car, par-delà l'émotion, la question essentielle est de savoir si, aujourd'hui, la France n'a pas déjà tourné le dos, secrètement, à la liberté d'expression. |
Les bûchers de la liberté [texte imprimé] / Anastasia Colosimo (1990-....), Auteur . - Paris : Stock, 2016 . - 1 vol. (227 p.) ; 22 cm. ISBN : 978-2-234-08050-8 : 18,50 EUR Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
323.443 |
Résumé : |
Que nous dit Charlie, alors que se dissipent les ultimes mirages du 11 janvier ? Que le blasphème n'est pas de retour car il ne nous a jamais quittés. Qu'il n'est pas un principe religieux, mais qu'il a toujours été un instrument politique. De Rushdie à Dieudonné, d'Islamabad à Copenhague et de la Cour européenne des droits de l'homme à la Cour suprême des États-Unis, en passant par la Bible et le Coran, les caricatures de Mahomet et l'inflation des lois mémorielles, voici une plongée à travers les temps et les lieux du blasphème qui en dévoile sans concession toute l'actualité. Car, par-delà l'émotion, la question essentielle est de savoir si, aujourd'hui, la France n'a pas déjà tourné le dos, secrètement, à la liberté d'expression. |
|  |