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Auteur Hans Förster |
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Philologische und historische Überlegungen zum "Passa der Juden" im Johannes Evangelium / Hans Förster in Revue biblique, N° 3 (juillet 2019)
[article]
Titre : Philologische und historische Überlegungen zum "Passa der Juden" im Johannes Evangelium Type de document : texte imprimé Auteurs : Hans Förster, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp. 415-427 Langues : Français (fre)
in Revue biblique > N° 3 (juillet 2019) . - pp. 415-427[article] Philologische und historische Überlegungen zum "Passa der Juden" im Johannes Evangelium [texte imprimé] / Hans Förster, Auteur . - 2019 . - pp. 415-427.
Langues : Français (fre)
in Revue biblique > N° 3 (juillet 2019) . - pp. 415-427Zur Bedeutung von ἐγκαίνια in Joh 10,22 / Hans Förster in Revue biblique, N° 3 (juillet 2016)
[article]
Titre : Zur Bedeutung von ἐγκαίνια in Joh 10,22 Type de document : texte imprimé Auteurs : Hans Förster, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 400-417 Langues : Allemand (ger) Catégories : Bible. N.T.. Evangiles. Jean
Judaïsme -- Coutumes et pratiquesRésumé : Les fêtes juives mentionnées dans l’Évangile de Jean visent – selon l’opinion commune – un public ciblé qui se compose principalement de personnes non-juives. Il y a plus de fêtes mentionnées que dans les synoptiques et il y a des informations supplémentaires données pour ces fêtes. Ainsi, par exemple pour Hanoucca on mentionne le fait que c’est l’hiver. Ceci semble être superflu puisque ceux qui connaissent la vie juive sont censés savoir, selon l’opinion communément admise, que Hanoucca est célébrée en hiver. Cette perception d’une information superflue est, cependant, une mauvaise compréhension du mot grec employé dans l’Évangile de Jean. Le mot employé pour Hanoucca n’est pas un nom, mais un terme générique qui signifie «célébration d’une dédicace». Puisque plus d’une «dédidace» d’un temple juif a eu lieu à Jérusalem, l’information que «c’est l’hiver» est capitale pour l’identification de Hanoucca. Sinon, cette fête en Jean 10,22 pourrait également être prise comme étant la célébration de la dédicace du temple construit sous Salomon juste avant que Souccot ait été célébrée ou celle de la dédicace du temple construit sous Zorobabel. En conséquence, les dictionnaires du Nouveau Testament comme les traductions de Jean 10,22 devraient éviter l’article défini s’ils traduisent en Jean 10,22. Il semble n’y avoir aucune chose comme «la» Fête de la Dédicace dans la vie religieuse juive au Ier siècle ap. J.-C. Ce qui est aujourd’hui connu sous le nom de Hanoucca a été appelé – selon Flavius Josèphe – (fête) des Lumières. Ceci, cependant, fait au moins de la «fête de la dédicace» mentionnée dans l’Évangile de Jean un domaine où l’auteur attend manifestement beaucoup de connaissances de la part du lecteur ciblé. Donc, il n’est plus possible d’utiliser cette fête dans l’Évangile de Jean comme argument pour affirmer que ce texte était destiné à un public majoritairement non-juif. (editeur)
in Revue biblique > N° 3 (juillet 2016) . - p. 400-417[article] Zur Bedeutung von ἐγκαίνια in Joh 10,22 [texte imprimé] / Hans Förster, Auteur . - 2016 . - p. 400-417.
Langues : Allemand (ger)
in Revue biblique > N° 3 (juillet 2016) . - p. 400-417
Catégories : Bible. N.T.. Evangiles. Jean
Judaïsme -- Coutumes et pratiquesRésumé : Les fêtes juives mentionnées dans l’Évangile de Jean visent – selon l’opinion commune – un public ciblé qui se compose principalement de personnes non-juives. Il y a plus de fêtes mentionnées que dans les synoptiques et il y a des informations supplémentaires données pour ces fêtes. Ainsi, par exemple pour Hanoucca on mentionne le fait que c’est l’hiver. Ceci semble être superflu puisque ceux qui connaissent la vie juive sont censés savoir, selon l’opinion communément admise, que Hanoucca est célébrée en hiver. Cette perception d’une information superflue est, cependant, une mauvaise compréhension du mot grec employé dans l’Évangile de Jean. Le mot employé pour Hanoucca n’est pas un nom, mais un terme générique qui signifie «célébration d’une dédicace». Puisque plus d’une «dédidace» d’un temple juif a eu lieu à Jérusalem, l’information que «c’est l’hiver» est capitale pour l’identification de Hanoucca. Sinon, cette fête en Jean 10,22 pourrait également être prise comme étant la célébration de la dédicace du temple construit sous Salomon juste avant que Souccot ait été célébrée ou celle de la dédicace du temple construit sous Zorobabel. En conséquence, les dictionnaires du Nouveau Testament comme les traductions de Jean 10,22 devraient éviter l’article défini s’ils traduisent en Jean 10,22. Il semble n’y avoir aucune chose comme «la» Fête de la Dédicace dans la vie religieuse juive au Ier siècle ap. J.-C. Ce qui est aujourd’hui connu sous le nom de Hanoucca a été appelé – selon Flavius Josèphe – (fête) des Lumières. Ceci, cependant, fait au moins de la «fête de la dédicace» mentionnée dans l’Évangile de Jean un domaine où l’auteur attend manifestement beaucoup de connaissances de la part du lecteur ciblé. Donc, il n’est plus possible d’utiliser cette fête dans l’Évangile de Jean comme argument pour affirmer que ce texte était destiné à un public majoritairement non-juif. (editeur)