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Auteur Vidaillet, Bénédicte
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[article]
| Titre : |
L'évaluation au travail, entre plainte et séduction |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Vidaillet, Bénédicte, Auteur |
| Année de publication : |
2013 |
| Article en page(s) : |
p. 185-195 |
| Langues : |
Français (fre) |
in Etudes > N° 4193 (septembre 2013) . - p. 185-195
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[article]
| Titre : |
"Nobodysation" du travail : Pourquoi la suractivité nous séduit |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Vidaillet, Bénédicte, Auteur |
| Année de publication : |
décembre 2016 |
| Article en page(s) : |
p. 31-39 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
A partir d'une pièce de théâtre, "Nobody" (2015-2016) à la mise en scène particulière, des questions sue posent sur le temps et l'addiction au travail. Pourquoi participe-t-on avec zèle au travail, en voulant toujours en faire plus, jusqu'à frôler ou subir un "burn-out" ? Qu'est-ce qui procure de la surexcitation dans la suractivité ? Pourquoi n'arrive-t-on pas à se fixer des limites ? Pourquoi une succession de tâches sont-elles vécues comme des challenges qui en appelleront d'autres ? Puisque les cadences et l'accélération permanente sont le propre d'une économie capitaliste, comment restructurer le travail pour lui redonner un cadre symbolique ? |
| Note de contenu : |
Encadré :
- "Nobody" ou la mise en scène du vertige.
- Mon irrépréssible fuite en avant, par Hervé Sérieyx. |
in Projet > N° 355 (décembre 2016) . - p. 31-39
[article] "Nobodysation" du travail : Pourquoi la suractivité nous séduit [texte imprimé] / Vidaillet, Bénédicte, Auteur . - décembre 2016 . - p. 31-39. Langues : Français ( fre) in Projet > N° 355 (décembre 2016) . - p. 31-39
| Résumé : |
A partir d'une pièce de théâtre, "Nobody" (2015-2016) à la mise en scène particulière, des questions sue posent sur le temps et l'addiction au travail. Pourquoi participe-t-on avec zèle au travail, en voulant toujours en faire plus, jusqu'à frôler ou subir un "burn-out" ? Qu'est-ce qui procure de la surexcitation dans la suractivité ? Pourquoi n'arrive-t-on pas à se fixer des limites ? Pourquoi une succession de tâches sont-elles vécues comme des challenges qui en appelleront d'autres ? Puisque les cadences et l'accélération permanente sont le propre d'une économie capitaliste, comment restructurer le travail pour lui redonner un cadre symbolique ? |
| Note de contenu : |
Encadré :
- "Nobody" ou la mise en scène du vertige.
- Mon irrépréssible fuite en avant, par Hervé Sérieyx. |
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