Titre : |
L'été d'Agathe |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Didier Pourquery, Auteur |
Editeur : |
Paris : Bernard Grasset |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
1 vol. (192 p.) |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-246-85853-9 |
Prix : |
17 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
291.73 La mort, le deuil |
Résumé : |
« Vendredi 10 août 2007. Agathe s'est arrêtée de respirer. Après six mois de lutte depuis sa deuxième greffe et toute une vie de combat. Sa lumière, son rire, son esprit, son courage vont tellement nous manquer. Sept ans plus tard, moi, son père, j'ai décidé de raconter qui était cette jeune femme vivante, joyeuse et directe. Comment elle a avancé, aimé, partagé. Comment elle a vécu, jusqu'au bout, son dernier été. Je voulais parler de sa vie, de la vie. Je me suis replongé dans mes notes, j'ai repris les photos, les courriers de ses vingt-trois étés. Puis j'ai commencé à écrire. Jour après jour. Ce fut difficile et doux. Tu m'accompagnais, Agathe, avec ton regard sur le monde, sur la maladie, sur la famille, sur moi. Nous échangions. A la fin, tu étais en vie. » D. P. |
L'été d'Agathe [texte imprimé] / Didier Pourquery, Auteur . - Paris : Bernard Grasset, 2016 . - 1 vol. (192 p.) ; 21 cm. ISBN : 978-2-246-85853-9 : 17 EUR Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
291.73 La mort, le deuil |
Résumé : |
« Vendredi 10 août 2007. Agathe s'est arrêtée de respirer. Après six mois de lutte depuis sa deuxième greffe et toute une vie de combat. Sa lumière, son rire, son esprit, son courage vont tellement nous manquer. Sept ans plus tard, moi, son père, j'ai décidé de raconter qui était cette jeune femme vivante, joyeuse et directe. Comment elle a avancé, aimé, partagé. Comment elle a vécu, jusqu'au bout, son dernier été. Je voulais parler de sa vie, de la vie. Je me suis replongé dans mes notes, j'ai repris les photos, les courriers de ses vingt-trois étés. Puis j'ai commencé à écrire. Jour après jour. Ce fut difficile et doux. Tu m'accompagnais, Agathe, avec ton regard sur le monde, sur la maladie, sur la famille, sur moi. Nous échangions. A la fin, tu étais en vie. » D. P. |
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