Nous sommes heureux de vous accueillir les mardi, mercredi et jeudi, de 14h00 à 17h30.
Détail de l'oeuvre / expression
Sur la mort de Théodose |
Documents disponibles avec cette oeuvre / expression (1)
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Sur la mort de Théodose / Ambroise
Titre : Sur la mort de Théodose Type de document : texte imprimé Auteurs : Ambroise (0340?-0397), Auteur ; Victoria Zimmerl-Panagl (1978-....), Éditeur scientifique ; Yves-Marie Duval (1934-2007), Traducteur ; Benoît Gain, Traducteur ; Yves-Marie Duval (1934-2007), Préfacier, etc. ; Benoît Gain, Préfacier, etc. Editeur : Paris : les Éditions du Cerf Année de publication : 2022 Collection : Sources chrétiennes (Paris), ISSN 0750-1978 num. 629 Oeuvres / Expressions : Sur la mort de Théodose : 2022; latin-français Importance : 1 volume (329 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-14751-4 Prix : 30 EUR Langues : Latin (lat) Français (fre) Langues originales : Latin (lat) Index. décimale : 221.10 Collection Sources Chrétiennes Résumé : Le 17 janvier 395, Théodose Ier (le Grand), seul empereur régnant, meurt subitement à Milan, à l’âge de cinquante ans à peine. Au mois de septembre précédent, à la bataille du Frigidus (la rivière Froide, en Slovénie actuelle), il a triomphé de l’usurpateur Eugène, artisan d’une « réaction païenne ». À cette date, longtemps tenue pour une charnière entre l’Antiquité et le Moyen Âge, le pouvoir impérial n’est pas pleinement assuré, d’autant que Théodose laisse deux fils, âgés seulement de dix-sept et dix ans : Arcadius et Honorius. Lors des funérailles célébrées quarante jours plus tard, Ambroise de Milan, qui s’était entretenu peu avant avec l’empereur, se montre pleinement conscient de la gravité de la situation politique. Il invite tout d’abord les deux fils, Arcadius et Honorius, à continuer l’oeuvre de leur père ; puis, faisant l’éloge des vertus chrétiennes, il prône la clémence et place, dans la bouche de Théodose, les paroles du "Psaume 114", développant ensuite l’éloge de l’empereur défunt et concluant sur les retrouvailles célestes. Cette oraison funèbre présente la particularité de contenir aussi un long développement narratif : la découverte à Jérusalem par Hélène, mère de Constantin, de la Croix et des clous de la Passion, puis leur présence sur le diadème, rappelant aux deux fils leurs devoirs – des recommandations dignes d’un « miroir des princes », dont la postérité se souviendra. Sur la mort de Théodose [texte imprimé] / Ambroise (0340?-0397), Auteur ; Victoria Zimmerl-Panagl (1978-....), Éditeur scientifique ; Yves-Marie Duval (1934-2007), Traducteur ; Benoît Gain, Traducteur ; Yves-Marie Duval (1934-2007), Préfacier, etc. ; Benoît Gain, Préfacier, etc. . - Paris : les Éditions du Cerf, 2022 . - 1 volume (329 p.) ; 20 cm. - (Sources chrétiennes (Paris), ISSN 0750-1978; 629) .
ISBN : 978-2-204-14751-4 : 30 EUR
Oeuvre : Sur la mort de Théodose : 2022; latin-français
Langues : Latin (lat) Français (fre) Langues originales : Latin (lat)
Index. décimale : 221.10 Collection Sources Chrétiennes Résumé : Le 17 janvier 395, Théodose Ier (le Grand), seul empereur régnant, meurt subitement à Milan, à l’âge de cinquante ans à peine. Au mois de septembre précédent, à la bataille du Frigidus (la rivière Froide, en Slovénie actuelle), il a triomphé de l’usurpateur Eugène, artisan d’une « réaction païenne ». À cette date, longtemps tenue pour une charnière entre l’Antiquité et le Moyen Âge, le pouvoir impérial n’est pas pleinement assuré, d’autant que Théodose laisse deux fils, âgés seulement de dix-sept et dix ans : Arcadius et Honorius. Lors des funérailles célébrées quarante jours plus tard, Ambroise de Milan, qui s’était entretenu peu avant avec l’empereur, se montre pleinement conscient de la gravité de la situation politique. Il invite tout d’abord les deux fils, Arcadius et Honorius, à continuer l’oeuvre de leur père ; puis, faisant l’éloge des vertus chrétiennes, il prône la clémence et place, dans la bouche de Théodose, les paroles du "Psaume 114", développant ensuite l’éloge de l’empereur défunt et concluant sur les retrouvailles célestes. Cette oraison funèbre présente la particularité de contenir aussi un long développement narratif : la découverte à Jérusalem par Hélène, mère de Constantin, de la Croix et des clous de la Passion, puis leur présence sur le diadème, rappelant aux deux fils leurs devoirs – des recommandations dignes d’un « miroir des princes », dont la postérité se souviendra. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Couverture 0468328520 221.10 Livre Réserve 1 Sources chrétiennes Disponible